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CHAQUE JOUR, ILS AGISSENT À VOS CÔTÉS

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En chiffres
  • S’il fallait renouveler l’ensemble des réseaux et usines d’eau potable, le coût des travaux s’élèverait à plus d’un milliard d’euros
  • L'ouvrage le plus ancien date de 1870
EAU POTABLE

Franck

Homme - 44 ans Métier : Agent de production eau potable
« Mon travail consiste à m’assurer que le service d’acheminement de l’eau jusqu’à votre robinet ne s’arrête jamais. »

Le saviez-vous ?

L’eau du robinet est plus contrôlée que celle en bouteille. A la Métropole ce sont 321 paramètres surveillés et 16.000 résultats d’analyses qui sont obtenus par an.

Quel est votre mission au sein de Tours Métropole ?

Tours Métropole assure la gestion de l’eau potable sur l’ensemble de son territoire. Cela représente 59 000 m3 d’eau par jour dont les deux-tiers sont prélevés dans le Cher et la Loire. Il y a 67 points de prélèvement qui envoient l’eau dans plus 29 usines d'assainissement des eaux. L’un des plus important est celui de l’île Simon avec 5000 m3 d’eau pompée par jour et c’est sur ce site que je travaille. L’eau y arrive avec une grosse pression et passe par tout un ensemble de machines qui régulent et acheminent l’eau vers les stations de traitement. Mon travail consiste à m’assurer que le service ne s’arrête jamais.

Pouvez-vous nous parler de vos missions au quotidien ?

Tous les jours je vérifie l’ensemble du réseau électrique du système de pompage de l’eau. L’ensemble des pompes de la Métropole fonctionnent à l’énergie électrique. C’est l’héritage d’un grand plan de réhabilitation du service de pompage et de distribution des eaux effectué sous le mandat de Jean Royer. Le système a quelques années et nécessite un entretien continu. Comme outil de contrôle, je dispose d’un écran qui signale toutes les anomalies qui peuvent advenir dans l’ensemble de l’usine. Cela me permet d’intervenir très rapidement. Parfois je suis amené à aller sur d’autres sites pour des pannes bien spécifiques. J’ai également des services d’astreinte afin de garantir la production 24 heures sur 24. La Métropole nous forme en permanence afin de nous maintenir nos connaissances au plus haut niveau. Cela fait 5 ans que je travaille pour la Métropole. J’y ai beaucoup appris grâce à des formations continues me permettant de rester au fait des dernières techniques d’interventions indispensables aux particularités des sites dont j’ai la maintenance. Par exemple, nous sommes régulièrement amenés à intervenir en milieu confiné, ou encore en hauteur sur des échafaudages.

En chiffres
  • S’il fallait renouveler l’ensemble des réseaux et usines d’eau potable, le coût des travaux s’élèverait à plus d’un milliard d’euros
  • L'ouvrage le plus ancien date de 1870
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